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Channel: Nathalie Busiaux – Widoobiz
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Marbotic: l’éducation par une application

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Il y a déjà bien longtemps que les jouets électroniques ont volé la vedette aux fameux jouets en bois. Aujourd’hui, le digital s’en mêle et commence tout doucement à prendre ses marques sur le marché des jouets. Et pourquoi ne pas unir le succès de nos anciens jouets en bois à l’apport révolutionnaire du digital ? Pour en parler, Nathalie Busiaux accueille Marie Mérouze, fondatrice de Marbotic, une entreprise qui propose une application pour tablettes tactiles apportant « des solutions pour apprendre avec la tête et les mains ». Concrètement, cette application est accompagnée de chiffres en bois capables d’interagir avec la tablette afin « d’apprendre à la fois avec du jeu traditionnel et les technologies de maintenant ».

Avant d’avoir cette idée, Marie Mérouze a passé 7 ans dans le monde de l’éducation numérique en associant le côté humain de l’éducation au côté moderne du web. C’est en s’intéressant à la pédagogie alternative qu’elle a voulu proposer du matériel sensoriel qui interagisse avec des interfaces numériques. Dans la vie et au sein de son travail, « on est quelqu’un d’épanoui quand on a réussi à développer toutes les composantes de son être telles que les dimensions intellectuelle, corporelle, ou encore l’assertivité ». Pour elle, le corps a une importance dans l’apprentissage et « on ne peut pas être épanoui si on n’est pas bien dans son corps ».

Aujourd’hui, Marie Mérouze dirige seule Marbotic et attend de trouver la personne au profil commercial avec qui elle aurait « envie de passer du temps » pour en faire son associé. Son ambition est de développer son projet sur ce marché encore émergent en France, mais surtout de miser sur la R&D dans le but de savoir commercialiser son produit.

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YLFLY: le succès attendu d’un parcours atypique

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YLFLY

Nathalie Busiaux accueille Louis-Serge Real Del Sarte de chez YLFLY. Cette société assez particulière est une structure dans laquelle il travaille tout seul et qui propose de faire la facturation de ceux qui le demandent.

Concrètement, le métier de YLFLY est de « gérer une stratégie digitale et générer une belle approche des réseaux sociaux en personal branding, en surveillance web, en e-réputation, etc. » Bref, il s’agit de créer des stratégies digitales pour les entreprises et les PME.

Aujourd’hui, Louis-Serge Del Sarte nous livre les multiples virages de son parcours professionnel, mais également le succès de sa société. Il nous confie que YLFLY a été créé par obligation, car il avait dépassé le plafond de son contrat auto entrepreneur avec son ancienne société EasyNetwork. De plus, la marque EasyNet, trouvant que ces deux noms se confondaient trop, l’a « gentiment attaqué » pour qu’il retire ce nom. Ce fut là un nouveau départ et un nouveau succès.

À la base, Louis-Serge Del Sarte voulait faire du piano et être dessinateur. Il a pris des cours du soir pendant 20 ans et a décidé de s’investir dans le monde des associations et des « clubs ». Cela lui a permis de se faire un réseau, qu’il a su exploiter en créant par la suite YLFLY.

L’histoire d’un succès à écouter et réécouter dans cette émission.

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Evolubook : la biographie d’un éditeur d’« e-biographies »

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Ferro

Nathalie Busiaux accueille une nouvelle fois un entrepreneur au parcours professionnel atypique et intéressant. Aujourd’hui, il s’agit de Hervé Ferro, fondateur de Evolubook, un concept novateur qui consiste à « rédiger les biographies d’entrepreneurs et de leurs entreprises, de les enrichir avec des interviews vidéos, des témoignages, des traductions et éventuellement des études de cas, puis de les mettre en format électronique et d’en assurer la diffusion et la communication ».

Ces e-biographies peuvent être diffusées auprès des clients, mais également des partenaires ou encore des éventuels prospects de l’entreprise. Elles sont diffusées sur les réseaux sociaux, les web média, les blogs, etc. dans le but de « répondre en une seule étape à un certain nombre de préoccupations des entrepreneurs et des entreprises », comme la reconnaissance d’une expertise dans un domaine, l’image de marque, le gain en communauté, etc.

Hervé Ferro est conscient qu’une biographie n’est pas indispensable dans la communication et la promotion d’une marque, mais pour lui c’est un « Nice to have ». En effet, ce n’est pas obligatoire, mais c’est bien de l’avoir. Grâce à ce concept, l’entreprise gagne beaucoup en terme de sympathie et de reconnaissance d’expertise en répondant aux bonnes questions.

Pour en revenir à son fondateur, Hervé Ferro nous explique qu’il a travaillé pendant 20 ans dans la finance et a créé un certain nombre de sociétés durant son temps libre. Cependant, il reconnait aujourd’hui que certaines erreurs, en terme de choix d’actionnaires ou encore de recrutement, lui ont coûté beaucoup de temps et d’argent. L’idée de Evolubook est donc venue de « l’envie de créer un site de bonnes nouvelles, pour remédier à tout ce qu’on entend au JT ».

Hervé Ferro a également créé les filiales françaises de Standard&Poors et Interactiv Data. Il a ainsi bénéficié des expériences d’intraentrepreneur et d’entrepreneur. Bien entendu, il préfère être entrepreneur « car on a moins de comptes à rendre et on peut prendre plus de risques », même s’il avoue qu’aujourd’hui « il est très difficile de se faire entendre ».

Finalement, même après ses diverses expériences entrepreneuriales, il n’est pas contre l’idée de redevenir salarié, mais à une condition: « il faudrait que j’aie épuisé certaines choses et je continuerai quand même à faire d’autres activités à côté ».

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Groupe Cerise, l’efficacité de la technologie et des « cerisiens »

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Tolman

Aujourd’hui dans « Entre Nous », nous découvrons le parcours personnel et professionnel de Benjamin Tolman, Directeur exécutif du Groupe Cerise, un groupe média digital au service des marques, créé avec son associé Denis Marchant, en 2008.

Avant de lancer le Groupe Cerise, Benjamin Tolman a vécu plusieurs expériences, tant dans l’entrepreneuriat que dans le monde salarial. Il y a quelques années, il a commencé par créer un comparateur de prix sur internet, qu’il a ensuite revendu. Mais l’envie d’entreprendre se faisant toujours ressentir, il a décidé de développer une technologie permettant de créer du contenu et de le diffuser à grande échelle, dans le but de la mettre à disposition des marques. Ainsi, deux supports sont nés: gentside.com et ohmymag.com. L’idée du projet se concrétisant, Benjamin Tolman a décidé de trouver un associé avec lequel il pourrait lancer le Groupe Cerise. De son côté, Denis Marchand était un industriel textile dans le Nord, chez qui Benjamin Tolman avait fait un stage. Lorsque Benjamin Tolman lui a présenté le projet, ils n’ont pas mis 24 h à se lancer ensemble dans cette opportunité.

Malgré quelques échecs au départ de l’aventure et des difficultés de recrutement et de prospection, l’entreprise a su se construire et persévérer. Aujourd’hui, ils ont réussi à créer, via la technologie, un groupe média digital puissant qui recense 9,5 millions de visiteurs uniques par mois. Benjamin Tolman est d’ailleurs « fasciné par cette capacité à déstabiliser un marché et à avoir des croissances fulgurantes sur Internet ». D’ailleurs, la croissance touche également les effectifs de l’entreprise puisque le Groupe Cerise a recruté de nombreux salariés, ou plutôt des « cerisiens », c’est-à-dire des « gens ouverts d’esprit, qui savent se remettre en question et qui ont la souplesse d’appliquer des consignes qui peuvent paraître complètement folles ou débiles ».

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MGC International, une vraie famille qui grandit

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Kévin Cohen - MGC International

Kévin Cohen – Directeur général adjoint MGC International

Place à l’entrepreneuriat familial et à la beauté aujourd’hui dans Entre Nous. Nathalie Busiaux a la joie de recevoir Kévin Cohen, Directeur général adjoint de MGC International, une grande entreprise distributrice de produits cosmétiques.

Cette société familiale a été créée il y a 32 ans par Marcel Cohen, le père, qui a vu à l’époque l’opportunité d’un magasin en face des plus grands noms de grossistes pour les coiffeurs dans le 10e arrondissement de Paris. Il y a donc ouvert sa première boutique et quelques années après, il a lancé son premier magasin dans la beauté ethnique. Ainsi, MGC a aujourd’hui deux grandes spécialités: l’entreprise est « grossiste en produits pour les coiffeurs avec 12 points de vente à Paris et une plateforme e-commerce MGC.fr, et est également spécialiste dans l’ethnique avec tous les produits pour peaux noires et métissées, cheveux spécifiques, etc. ». Ces activités sont à présent équivalentes au sein de la société et MGC a su rester « n°1 de la beauté cosmopolite jusqu’à maintenant ».

Kévin Cohen partage avec nous son enfance dans cette famille d’entrepreneurs, puis son intégration il y a 8 ans dans l’entreprise familiale et l’évolution de son profil professionnel. MGC possède indéniablement une forte culture familiale, mais reste tout de même très ouverte aux collaborateurs extérieurs. « Ce n’est pas un frein de ne pas faire partie de la famille, car finalement on fait partie de la grande famille MGC ».

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Amandine Coudert : la passion d’entreprendre au bout du fil

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Amandine Coudert - Advice Comm

Chaque histoire d’entrepreneur est différente et naît de besoins, d’envies ou de parcours variés. Initialement notre invitée, s’était destinée à embrasser une carrière dans le secteur de l’immobilier. Un secteur qu’elle juge rapidement « trop dur et trop sérieux » et qu’elle décide donc d’abandonner. Après cette « mauvaise » expérience, notre invitée entame alors une période de reconstruction.

Place à une nouvelle activité de prospection téléphonique. Contrairement à d’autres, elle possède un goût prononcé pour la vente par téléphone et croit à une approche moins impersonnelle que celle des « call-centers ». Cette aventure, elle décidera de la vivre en tant qu’entrepreneure avec une approche très personnelle : « je sais que je dérange lors d’un appel. Je fais donc en sorte que mon interlocuteur passe un bon moment ».

C’est ainsi qu’Amandine Coudert, 29 ans, lance Advice Comm. Cette entreprise  est une agence de conseil en développement commercial à destination principalement des agences de communication. Son aventure entrepreneuriale se révèle être une bonne surprise avec un développement d’entreprise plus facile que ce qu’elle avait imaginé. Evidemment, la vie d’un dirigeant d’entreprise n’est pas un long fleuve tranquille. Sa problématique actuelle est liée au recrutement. Le collaborateur idéal, avec « un bon état d’esprit et un fort respect pour la valeur travail », ne sonne pas tous les jours à la porte de votre entreprise.

Aujourd’hui, elle retire une certaine fierté d’avoir redonner ses lettres de noblesse au téléphone.

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Wine & Business Club : business, gastronomie et bon vin

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Alain Marty - Wine & Business Club

« Gastronomie, économie et vins », tel est le thème de l’émission « Entre Nous » aujourd’hui avec Nathalie Busiaux. Pour parler de ces sujets essentiellement français, elle reçoit Alain Marty, Président Directeur Général du Wine & Business Club.

Gastronomie et bons vins : que demander de plus ?

Ce club, créé il y a maintenant 23 ans par notre invité, rassemble une fois par mois des centaines de dirigeants d’entreprises et professions libérales amateurs de vins. Aujourd’hui, le Wine & Business Club compte 17 clubs qui se réunissent à Paris, à Monaco, à Genève ou encore à Luxembourg. À chaque rencontre, c’est le même programme : conférence sur une thématique économique, dégustation de bons vins, entretien avec deux personnalités du monde économique et enfin, dîner gastronomique et dégustation de vins. Le concept est basé sur une cotisation de 5 000 à 10 000 euros réglée chaque année par les entreprises souhaitant adhérer au club et participer à ces soirées mensuelles « de luxe ». Et Alain Marty compte bien « exporter ce concept partout dans le monde afin qu’il devienne une plateforme de communication autour de l’art de vivre et de l’économie, avec une sensibilité made in France ».

Un homme, un parcours, des passions

Alain Marty retrace avec nous son parcours et sa carrière, qui a d’ailleurs commencé très tôt. En effet, c’est à 20 ans, lors de sa deuxième année à l’École de commerce Ipag à Paris, qu’il a créé sa première entreprise : une société qui exportait des parfums et des vins en Chine. Après 3 ans de cette « aventure exceptionnelle », il décida de se lancer entièrement dans l’une de ses nombreuses passions, le vin : « c’est le symbole de la convivialité et indissociable de la gastronomie ». Ainsi est né le Wine & Business Club.

Étant conscient du potentiel de la France dans ces domaines, il décida de viser ceux qu’il désigne comme « les 1ers ambassadeurs du vin français »: les grands patrons et les hommes politiques. Ainsi, depuis 23 ans, il côtoie les acteurs influents français, mais dans un contexte différent et surtout détendu. Un contexte qui lui correspond amplement puisque Alain Marty est un homme passionné par « le vivre », « l’humain », « les projets à long terme », « la création » et « les gens qui font des choses ».

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Blitz Motorcycles : quand la passion reprend le dessus

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Blitz Motorcycles

Seriez-vous capable de tout quitter pour réaliser vos rêves ? Si vous avez encore des doutes, faites comme cet entrepreneur et imaginez-vous à 50 ans sans l’avoir fait. Découvrez dans « Entre Nous », Fred Jourden, cofondateur de Blitz Motorcycles, qui partage avec Nathalie Busiaux son parcours atypique et la réalisation de son rêve entrepreneurial. Concrètement, Blitz Motorcycles est l’association de deux garagistes du domaine des motos. Mais leur particularité, qui n’est pas moindre, est qu’ils ne font aucun entretien ! En effet, Fred Jourden et Hugo Jezegabel transforment des motos existantes et anciennes en d’autres choses. Clairement, ils font de la customisation de motos sur des bases de motos anciennes.

Retour à la première passion

Pour comprendre comment ils en sont arrivés là et pourquoi ils ont choisi cette voie, Fred Jourden retrace avec nous sa vie et son parcours. De son père ingénieur, à sa passion pour Mac Gyver étant petit, en passant par ses études en école de commerce, Fred Jourden explique finalement son premier métier de Directeur du marketing internet. Puis, tout commence réellement lorsqu’il achète une moto ancienne à l’âge de 30 ans. Il décide alors de s’inscrire à des cours du soir pendant 1 an dans le cadre d’un CAP de mécanique, afin de savoir comment agir dans le cas où elle tomberait en panne. C’est là qu’il rencontre son futur associé et surtout ami, Hugo Jezegabel, avec qui il commence à refaire des motos pour des amis, de la famille puis finalement pour des gens qu’ils ne connaissent même pas.

Réaliser les désirs d’enfants de leurs clients

Le manque de motivation, d’envie et la crise se faisant ressentir, Fred Jourden décide alors de quitter son poste pour s’associer à Hugo Jezegabel et créer Blitz Motorcyles en 2010. Et bien que l’entreprise ait été lancée sans aucune étude de marché, les deux fondateurs savaient qu’ils ne devraient pas seulement s’adresser au marché français. Aujourd’hui, ils refont tout et transforment, selon les désirs de leurs clients. Leur premier objectif est que les personnes qui viennent les voir « repartent avec l’objet des désirs qu’ils avaient à 8 ans ». Pour cela, ils apprennent à connaître leurs clients en leur posant plein de questions. Cette véritable analyse leur permet ainsi d’intégrer « toujours une partie de la vie ou de la psychologie de la personne » dans la peinture de leur moto.

L’artisanat, le savoir-faire et la qualité

« Les gens n’achètent pas ce que vous faites, ils achètent la raison pour laquelle vous le faites ». Fred Jourden défend le travail manuel le véritable besoin de réhabiliter ce secteur, car pour lui, « à un moment, il faut quitter le monde de la théorie et passer à la pratique. Et plus on travaille avec ses mains, plus on connait ses limites ». Les gens manuels et passionnés le touchent et « peuvent donner des frissons à n’importe qui ». À présent, son rêve est de continuer à faire ce qu’ils font ensemble et de « réussir à en vivre suffisamment pour construire une famille autour de ça ». En effet, même s’ils vivent encore sur l’argent gagné précédemment, ils ne lâcheront pas, car ils ne veulent pas « arriver à 50 ans sans l’avoir fait ». Aujourd’hui, ils réalisent environ 15 motos par an et Fred Jourden nous explique que « l’esthétisme ou l’esthétique implique tellement de sensations différentes qu’il faut accepter que les choses soient lentes, car c’est là que la beauté ressort ».

 

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Reprendre l’entreprise familiale : un choix décisif pour Olivier Barbet-Maillot

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Olivier Barbet-Maillot

Quitter sa place de cadre dirigeant pour un poste de Directeur commercial dans la petite entreprise familiale : un choix pas forcément évident et surtout risqué de nos jours. C’est pourtant ce qu’a fait notre invité du jour il y a quelques années. Olivier Barbet-Maillot, PDG de la société Abena-Frantex, est aujourd’hui au micro de Widoobiz, dans l’émission « Entre Nous », pour nous parler de son parcours professionnel et des décisions importantes qui ont rythmées sa vie.

L’innovation comme passion

À sa sortie de l’école de commerce, Olivier Barbet-Maillot opte pour de nouveaux horizons et se spécialise dans les cartes à puces. Dans les années 90, c’est un marché totalement innovant et surtout un pari assez prometteur. Quelques années plus tard, il ressent le besoin de sortir de son statut de cadre dirigeant et « d’avoir les mains libres » pour développer des choses. C’est à cette époque qu’il décide de rejoindre Abena-Frantex, l’entreprise dirigée par son père.

Un autre destin

Lorsque l’on demande à Olivier Barbet-Maillot s’il aurait pu faire autre chose que d’intégrer l’entreprise familiale, il répond clairement que « Oui ». En effet, sa véritable grande passion au sein de l’entreprise est « le marketing stratégique, le développement des entreprises et leur business model ». Son véritable rêve aurait été d’être « le pompier qui va dans les entreprises pendant 2 ou 3 ans » pour les remettre à flot et de « travailler sur des stratégies à 5 ou 10 ans ». La pression familiale en a décidé autrement mais, aujourd’hui, il ne regrette aucunement ce choix.

En tant que cadre dirigeant dans son ancienne entreprise, ses principales craintes étaient de rejoindre un environnement « de type PME, pas assez important pour répondre à ses attente ». Non pas qu’il sous-estimait cette société, au contraire. Mais lorsque l’on bascule d’un poste où l’on bénéficie d’assistance pour « préparer ses voyages, s’occuper de l’informatique, etc. », à un autre statut où l’on est obligé de tout faire soi-même, le changement d’environnement est forcément brutal. Finalement, sa créativité a pris le dessus et l’envie de développer et d’entreprendre l’a tellement porté que tout cela n’avait plus d’importance.

L’entreprise familiale

L’autre crainte lorsque l’on arrive dans l’entreprise familiale, est de mélanger l’aspect familial à l’aspect professionnel. Pour Olivier Barbet-Maillot, le fait de devenir le responsable d’un membre de sa famille était un véritable frein. La peur de ne pas se voir confier assez de responsabilités ou encore de perdre toute crédibilité face à ses collaborateurs à cause de l’instinct maternel, etc. Des craintes légitimes mais qui ont très vite disparu puisque « tout s’est très bien passé finalement ».

Découverte de son environnement

En arrivant chez Abena-Frantex, Olivier Barbet-Maillot a eut une seconde surprise. En effet, n’ayant pas été préparé à ça chez son précédent employeur, il s’est rendu compte ici que, lorsque l’on dirige une entreprise, « on a des gens autour de soi et ce ne sont plus des collègues mais des collaborateurs ». C’est en entrant au CJD (Centre des Jeunes Dirigeants), « le plus vieil organisme patronal de France, qu’il s’est aperçu qu' »il n’y a pas d’école pour devenir entrepreneur et que cela s’apprend sur le tas, en expérimentant et en osant ».

Et c’est en se faisant sa propre expérience qu’Olivier Barbet-Maillot a appris que « rien n’est acquis et qu’il faut toujours se remettre en question ». En effet, lorsqu’il était cadre dirigeant, il se laissait « porter par la structure », mais à présent il est obligé d’être « le moteur et de montrer que tout va bien ». Pour cela, il conseille à ses commerciaux de se lever chaque matin en se demandant ce qu’ils peuvent faire de mieux que ce qu’ils ont fait hier. Concrètement, Olivier Barbet-Maillot est définitivement un entrepreneur qui aime « challenger, entreprendre, oser et expérimenter ».

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TiVine Technologies : une innovation qui va en ravir plus d’un !

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Un acteur, un écrivain, un musicien… Nous sommes nombreux à s’être trouvés plus d’une fois devant notre télévision en étant incapable de mettre un nom sur la personne qui apparaît. Grâce à un système d’analyse sémantique du contenu, Nicolas Mercouroff a mis au point TiVine Technologies, une plateforme qui permet de connaître le nom des personnes qui interviennent sur notre petit écran !

Nicolas Mercouroff évolue dans le domaine des technologies depuis des années et ce n’est pas un hasard s’il a décidé d’entreprendre. Aujourd’hui, il est au micro de Widoobiz pour revenir sur son parcours en compagnie de Nathalie Busiaux, dans l’émission Entre Nous.

« L’envie d’avoir un impact et de changer le monde sont des moteurs pour entreprendre »

Diplômé d’une formation d’ingénieur à l’école Polytechnique et à l’origine d’une thèse sur « l’analyse sémantique et informatique », ce docteur en informatique a travaillé de nombreuses années au sein du groupe Alcatel Lucent. Les différents postes qu’il a occupé, responsable au centre de recherches, directeur technique ou encore développement de produits innovants, lui ont permis d’accroître son intérêt pour la technologie. Seulement, Nicolas Mercouroff en voulait davantage tout en restant dans le domaine de la télécommunication et de la vidéo. Il voulait être au plus près de sa passion et « voir l’impact de son action ». C’est désormais chose faite.

Avant de créer TiVine Technologies, Nicolas Mercouroff a exercé en tant que consultant auprès de plusieurs chefs d’entreprises. La démarche d’entreprendre lui a pris 3 ans. C’est en ressentant lui-même la frustration de ne pas connaître un écrivain qui passe à la télévision, pour ensuite acheter son livre par exemple, qu’il a pensé que plusieurs personnes pouvaient avoir ce besoin. Ses expériences antérieures et ses contacts lui permettent d’avoir un bon positionnement.

« La manière la plus directe pour être proche du robinet d’innovation, c’est de créer sa propre startup »

Se lever tous les matins et vivre son projet est une source de motivation indéniable pour Nicolas Mercouroff. Les relations humaines sont importantes pour lui. Il ne choisit pas ses collaborateurs en fonction des diplômes mais en fonction de leurs expériences personnelles : c’est l’envie de réussir qui va primer.

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Horloges Huchez : l’horlogerie, une histoire de famille

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Horloges Huchez

Plus qu’un simple moyen de connaître l’heure, l’horloge est devenue un art à part entière ornant de façon singulière des monuments plus somptueux les uns que les autres.

Aujourd’hui dans Entre Nous, le temps s’arrête en compagnie de Nathalie Busiaux qui reçoit François Huchez, dirigeant des Horloges Huchez.

On remonte l’horloge jusqu’au 19ème siècle…

Derrière les horloges astronomiques de Besançon et de Beauvais se cache Auguste-Lucien Vérité, un ingénieur des chemins de fer. Inventeur d’un système pour synchroniser des horloges sur réseau ferré du Nord de la France, il a créé son entreprise en 1832. Plus tard, il cède son entreprise à Renard, qui l’a lui-même cédé en 1898 aux frères Jolly. L’un deux, Louis Jolly, était l’arrière-grand-père de François Huchez.

Plus que le fils du patron

L’entreprise Huchez a deux activités. D’un côté la fabrication d’horloges monumentales pour les gares, les hôtels, les résidences d’habitations, les centres commerciaux… De l’autre, l’aspect campaniste qui regroupe les équipements des clochers, les marteaux, les protections anti-pigeons. C’est avec son profil d’ingénieur et de gestionnaire que François Huchez rejoint les Horloges Huchez en tant que responsable informatique, en 2001. En 2008, son père décide de lui céder la direction de l’entreprise familiale. D’abord considéré comme le « fils du patron », c’est en se mettant « à leur niveau » que ses collaborateurs ont pu voir qu’il était « compétent ».

Se régler à l’heure du dirigeant

Être dirigeant, ça s’apprend. C’est bien pour cela que François Huchez s’est inscrit il y a 3 ans au CJD. Il a pu y échanger sur le métier de dirigeant, mais surtout, il a su prendre sa responsabilité à bras le corps. Être dirigeant possède son lot de bons côtés, mais comporte également des aspects plus contraignants. Ainsi, il apprécie la liberté d’agir, les rencontres intéressantes et les voyages que lui offre sa fonction. Mais le temps et l’investissement que ce rôle demande, ainsi que la vie de famille qui est souvent laissée de côté la semaine, font partie des contraintes auxquelles il faut faire face. Être dirigeant occupe l’esprit à plein temps, « c’est pas 35h par semaine, c’est 35h par jour ». Difficile donc de remettre ses pendules à l’heure.

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Brief.me : le nouveau média lancé par le cofondateur de Rue89

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Brief-me

Dans son émission « Entre nous », Nathalie Busiaux reçoit aujourd’hui Laurent Mauriac, cofondateur de Rue89 et Président de Brief.me, un site web proposant un résumé quotidien, par courrier électronique, des dernières actualités les importantes.

Il permet ainsi à ses utilisateurs de voir plus clair dans l’actualité grâce à des petits résumés et des mini articles qui se suffisent à eux-mêmes, ainsi que des liens qui permettent d’aller approfondir le sujet si besoin.

Nous sommes noyés dans l’information

Passionné de journalisme, d’entrepreneuriat et de nouvelle technologie, Laurent Mauriac a fondé et travaillé chez Rue89 avant de créer Brief.me. Après la vente de Rue89, il avait envie de se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale et eut l’idée de créer un service bien précis permettant de « sauver » les gens qui se sentent submergés par l’information et qui ont du mal à s’en sortir. Ce sentiment est dû au fait que les médias sont de plus en plus dans une logique de flux, sans que l’on ne sente forcement le besoin d’être informé toutes les secondes. L’idée de Brief.me est donc de revenir à la notion d’édition, c’est-à-dire une information complète une fois par jour.

Un projet pas comme les autres

Pour Laurent Mauriac, ce projet est différent de ses précédents car il inclut une dimension participative. Contrairement à Rue89, cette dimension participative est présente dans la création-même du projet. Brief.me a été financé grâce à une campagne de financement participatif via Ulule. Un véritable choix de la part de Laurent Mauriac, qui voulait très rapidement se confronter aux lecteurs.

D’ailleurs, de nombreux courriers de suggestions de lecteurs lui ont permis de progresser plus rapidement et d’améliorer clairement les services de Brief.me. Toutefois, Laurent Mauriac ne considère pas pour autant que les lecteurs font le journal.

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Codéveloppement Academy : un entrepreneur différent pour une entreprise différente

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codeveloppement academy

Dans son émission Entre Nous, Nathalie Busiaux a rencontré Fabien Rodhain, écrivain et fondateur de Codéveloppement Academy.

Codéveloppement Academy est né de la rencontre entre Fabien Rodhain et le codéveloppement. Cette approche, inventée par deux Canadiens, permet de « semer de l’intelligence collective dans les entreprises ». Fabien Rodhain est porté depuis quelques années par l’idée d’intelligence collective, c’est-à-dire par le fait que les challenges ne peuvent être relevés qu’en travaillant ensemble, en entreprise ou en société.

L’ « Empowerment »

Depuis quelques décennies, les modèles d’accompagnement en entreprises sont surtout centrés autour de l’information ou du consulting. C’est-à-dire des modèles avec « un sachant et un apprenant ». Or beaucoup de managers sont aujourd’hui réticents à la formation. Le codéveloppement vient ainsi bouleverser ces codes.

À la place d’un expert qui explique aux autres comment les choses doivent fonctionner, Codéveloppement Academy propose un animateur qui va mettre les participants en « empowerment ». Il les rend leaders. Par la force des choses, c’est le groupe qui va s’entraider mutuellement et l’animateur fait en sorte que cela fonctionne.

Une vision singulière de l’entrepreneuriat

Fabien Rodhain s’est découvert un goût pour l’entrepreneuriat il y a 1 an et demi lors du festival des entrepreneurs. C’est en étant au milieu de tous ces entrepreneurs qu’il a compris qu’il « faisait partie de cette famille ». Pour lui, la caractéristique principale de l’entrepreneur est sa capacité à prendre des risques.

Il s’est senti entrepreneur à partir du moment où « il avait développé suffisamment de sécurité intérieure ». Car selon lui, le salarié a une sécurité qu’il définit comme venant de l’extérieur (salaire, possibilité de toucher un revenu même au chômage, etc.), tandis que l’entrepreneur est en risque permanent. Il se doit donc de chercher la sécurité à l’intérieur de lui-même.

Pour aller du salariat à l’entrepreneuriat, il faut être en lien permanent avec l’instant présent. La peur du salarié du manque de sécurité l’empêche de devenir entrepreneur. C’est pourquoi il est nécessaire selon lui de vivre l’instant présent, car celui-ci développe le sentiment de sécurité. Il faut être capable de maîtriser son mental pour qu’il ne vous projette pas dans l’avenir en permanence.

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Alexandre Valensi : « le sport est un véritable moyen de réinsertion sociale »

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Plus qu’un simple loisir ou une performance, le sport peut être aujourd’hui considéré comme un moyen de réinsertion sociale réunissant les personnes de tous horizons.

Aujourd’hui, dans son émission « Entre nous », Nathalie Busiaux reçoit Alexandre Valensi, ambassadeur d’Unis-Cité et porteur du projet « Sport pour toit » de l’association VIACTI.

Une vocation née très tôt

Dès sa plus tendre enfance, Alexandre Valensi est passionné par le sport. Dès l’âge de 6 ans, il pratique le tennis et l’enseigne à partir de ses 17 ans. Très tôt, il développe une conscience sociale en voulant comprendre les personnes à la rue et en voulant leurs venir en aide. Il lui est de plus en plus désagréable de voir des personnes assises sur des bancs sans but et se raccrochant à ce qu’elles peuvent. Après un passage à l’étranger, il revient avec une seule idée en tête : s’engager réellement et venir en aide à ces personnes avec la passion qui l’anime depuis toujours, le sport.

Un engagement sans limites

Alexandre Valensi est l’un des porte-paroles de l’association Unis-Cité pour le service civique. Il veut promouvoir cette forme d’engagement auprès des jeunes de 16 à 25 ans. En effet, selon lui, s’engager dans le service civique, c’est faire « une mission d’intérêt général à la fois pour les autres mais aussi pour soi-même ». Alexandre Valensi est également porteur du projet « Sport pour toit » de l’association VIACTI, un projet visant à aider les personnes à la rue à se réinsérer par le sport. En faisant du sport, ces personnes retrouvent de la dignité, elles développent de l’estime de soi, elles prennent une meilleure « conscience de leurs propre corps » et ont « moins mal physiquement mais aussi mentalement ». D’ailleurs, Alexandre Valensi a la casquette de coordinateur sportif d’activité physique adaptée et santé auprès des diabétiques.

Un rêve pour l’avenir

Pour Alexandre Valensi, l’activité physique doit faire partie de notre quotidien. Il veut replacer l’activité physique au centre de nos préoccupations car il est convaincu des bénéfices santé. Il faut aller « au bout de ses limites et les dépasser ».

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BonneGueule.fr vous réconcilie avec la mode masculine

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La mode n’est pas exclusivement réservée aux femmes et aux fashionistas. De nos jours, les hommes prennent de plus en plus soin de leur apparence. Qui peut aider ces hommes à trouver chaussures à leurs pieds ?

Aujourd’hui, dans son émission « Entre nous », Nathalie Busiaux reçoit Geoffrey Bruyère, co-fondateur de BonneGueule.fr, un site et une marque de vêtements pour hommes.

Une passion pour la mode

L’histoire de ‘Bonne Gueule’ débute à la rencontre entre Geoffrey Bruyère et Benoit Wojtenka, son associé. Ils tenaient chacun de leurs côtés un blog sur la mode masculine et, en 2010, ils ont décidé d’unir leurs forces pour créer leur entreprise. Ils ont ainsi démarré par un blog de mode masculine où ils conseillaient les hommes, qui est aujourd’hui devenu à la fois un site, où plus de 5000 questions par mois sont postées de la part d’hommes, mais également une marque de vêtements, éditrice de créateurs français, de marques anciennes et d’une ligne propre.

Un entrepreneur né

Geoffrey Bruyère a toujours su qu’il deviendrait entrepreneur. Ne pas pouvoir prendre de décisions et avoir des chefs au-dessus de lui ne lui convenaient pas. Sa rencontre avec Benoit a été le déclic. Même s’il n’aime pas donner des directives, il arrive à manager son équipe de 18 personnes. Avec une moyenne d’âge de 24 ans, sa manière de diriger est assez « copain-copain ». Il cherche avant tout à rendre ses salariés autonomes et responsabilises. Il leur procure un cadre, des outils et des moyens de réussir : la base !

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B’Slim : le vêtement mode connecté à la peau !

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Qui n’a jamais rêver de lutter contre la cellulite tout en restant décontracté et branché ? Vous serez séduits par cette nouvelle marque de vêtements tendances aux propriétés amincissantes.

Aujourd’hui, dans son émission « Entre nous », Nathalie Busiaux reçoit Yasmine Chani, fondatrice de B’Slim.

Un projet mûrement réfléchi

B’Slim est une marque de vêtements dédiée à la mode et à la minceur. Le passé de responsable export de Yasmine Chani dans une entreprise commercialisant de la cosmétotextile en pharmacie et parapharmacie, lui a donné l’idée de développer une gamme de vêtements de tous les jours, intégrant une technologie amincissante dans les fibres de tissus qui agissent directement sur la peau. Son innovation se trouve dans le jean qu’elle propose, dont les propriétés amincissantes agissent sur la cellulite et l’hydratation de la peau sans qu’elles ne s’épuisent au lavage.


L’important est de travailler et de faire grandir l’entreprise ensemble.
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Une histoire de famille

Yasmine Chani a décidé de se lancer dans l’aventure à une période où l’entreprise qui l’employait battait de l’aile. Ses proches et sa famille l’ont alors soutenu et rassuré dans sa démarche, l’accompagnant moralement et financièrement. A ce jour, chaque membre de sa famille joue un rôle important dans son entreprise, ce qui lui permet d’avancer toujours plus.

Gagner ensemble

A l’avenir, Yasmine Chani souhaite recruter des collaborateurs motivés, « s’investissant à 150% » et surtout compétents. Elle se positionnera en tant que salariée, « comme les autres » et non comme une patronne. L’important étant de travailler et de faire grandir l’entreprise ensemble.

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Les Apérettes : quand l’envie d’entreprendre surgit

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Se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est avant tout un défi qu’on se lance à soi-même. Certaines personnes développent leur concept à un moment de leur vie, alors que quelque mois plus tôt, elles n’y pensaient même pas. Eve Gutierrez, fondatrice des Apérettes, explique comment lui est venu son concept innovant.

Les Apérettes est une entreprise créée par une femme et pour les femmes. Elle a pour mission d’organiser des événements entre filles et de se rassembler autour d’une activité (apéritif, manucure, exposition, massage, etc.).

Saisir le bon créneau, au bon moment

Un jour, Eve Gutierrez s’est fait une réflexion : « il n’y a pas assez de jours dans la semaine pour faire ce que l’on veut en voyant ses amies ». Face à cette problématique, elle décide d’entreprendre Les Apérettes et de décliner son concept pour les entreprises avec des ateliers plus adaptés au développement personnel et professionnel.

Une expérience, une leçon

Après la réalisation de son projet, cette jeune entrepreneuse retient une chose : elle aime le relationnel et ne renoncera pas à cet esprit pour son projet. Elle s’est écoutée et a entrepris car elle en avait envie ! Aujourd’hui, Eve Guttierrez est fière de son travail et passionnée par le développement et la création. « On apprend, on développe des compétences nouvelles, on se surpasse. Et puis « c’est pas beaucoup plus de travail d’être à son compte. Il faut juste le faire, se lancer ». Il suffit simplement de trouver le courage.

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Le virage entrepreneurial peut arriver à tout moment

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Après quelques années de mathématiques, physique-chimie et français, on ne sait pas toujours vers quel métier s’orienter en sortant du lycée. Certains optent pour la voie généraliste de la fac et d’autres préfèrent suivre la voie de leurs aînés en espérant se découvrir les même gènes à succès. C’est cette deuxième voie qu’a suivit l’invité du jour de « Entre Nous », Adrien Truchon-Bartes, fondateur de la Mondiale des Vins.

S’entourer d’experts

Adrien Truchon-Bartes a créé la Mondiale des Vins en 2009 à la fin de ses études. Cette société est spécialisée dans la distribution de vins, champagnes et spiritueux pour les entreprises, les écoles et restaurants, et élabore également de vins et champagnes. Sa dernière création est un vin blanc nommé « Spirit of Sushi », créé par un chef japonais et un œnologue français. Le domaine étant assez spécifique, on pourrait croire qu’Adrien Truchon-Bartes a fait des études de vins et spiritueux ou d’œnologie, mais pas du tout. Il sait surtout s’entourer d’experts dans le métier.

La volonté de se sentir « utile pour une entreprise »

Après avoir suivi ses aînés dans des études de commerce et gestion, Adrien Truchon-Bartes est entré à l’Essec dans l’idée de créer sa propre entreprise. Il ne se voyait pas intégrer un grand groupe et préférait se sentir « utile pour une entreprise ». D’origine champenoise, il avait la volonté de revenir aux sources familiales et de mettre en avant cette région qui fait l’un des plus beaux produits du patrimoine français. Créer son entreprise dans le domaine des vins, spiritueux et champagnes était donc une évidence pour lui.

Aujourd’hui, dans sa propre société, il choisit ses collaborateurs « par instinct, par motivation, par leur passion pour l’entreprise et les défis ». En effet, lorsqu’il a créé son entreprise, il se demandait s’il serait capable d’assumer un tel travail. Sa rigueur et sa persévérance de toujours l’ont motivé, il a continué dans le monde du travail et cela le rend heureux.

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Pour le meilleur et pour le dire : elle conçoit vos cérémonies laïques

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Les mariages sur une plage, dans une prairie ou chez soi, loin des lieux de culte ou de l’incontournable mairie, ont le vent en poupe. Certains l’ont bien compris et ces dernières années, des business se sont naturellement créés autour des cérémonies laïques. 

Officiante de cérémonie, et non wedding planner, Nolwenn Marchal a fondé The Cérémonie, une entreprise spécialisée dans l’organisation de cérémonies laïques. 

Mon mariage m’a donné des ailes

L’aventure de The Cérémonie débute à l’occasion du mariage de notre invitée. Alors entrepreneure, cette athée propose à son futur mari d’organiser une cérémonie laïque. De là va naitre un blog qui connait un fort succès. Les retours positifs des internautes font prendre conscience à cette chef d’entreprise qu’il y a un véritable besoin alors encore trop peu pourvu. Ce mariage aura donc donné naissance à un bébé inattendu : The Cérémonie.

En deux ans, je ne me suis pas lassée

« En deux ans, je ne me suis pas lassée », explique Nolwenn Marchal. Elle évoque son aventure entrepreneuriale, mais pourrait tout aussi bien parler de son mari, véritable soutien quotidien dans la vie de cette entrepreneure. Car avoir « quelqu’un qui vous écoute, avec qui vous pouvez partager, qui vous rappelle l’importance de ce que vous faites », c’est aussi l’ingrédient essentiel d’une longue vie d’entrepreneur.

Pour le meilleur et pour le dire, tel pourrait être le slogan de cette entreprise qui fait le bonheur de futurs mariés en les accompagnant dans l’écriture de leurs discours de cérémonie de mariage.

Si vous vous mariez prochainement loin des mairies et les lieux de culte, que vous êtes athée, hâtez-vous de tester les cérémonies laïques.

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Beeleev : entreprendre dans le monde entier

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Hugues Franc, fondateur du réseau d’entrepreneurs Beeleev, se confie aujourd’hui à Nathalie Busiaux. Dans ce rendez-vous d’Entre Nous, il livre certains épisodes importants de sa vie professionnelle…et personnelle.

« Entreprendre, c’est une réalisation de soi extraordinaire et en même temps, c’est le seul moyen de créer de la valeur et de l’emploi », affirme Hugues Franc. Après 15 ans de bons et loyaux services au sein du Réseau Entreprendre, il lance en 2013, Beeleev. Ce nouveau réseau s’axe autour de l’entraide entre entrepreneurs souhaitant se développer à l’international. Beeleev fédère aujourd’hui 1800 entrepreneurs de plus de 100 pays.

Ce besoin d’entreprendre, Hugues Franc le perçoit depuis longtemps. « Dans la famille on est entrepreneur depuis le 17ème siècle, à l’exception de mon père », justifie-t-il. Dans cette émission, l’entrepreneur dépasse l’aspect professionnel de l’entrepreneuriat. Il aborde certains moments marquants de sa vie personnelle qui l’ont mené à la création de Beeleev. Il cite par exemple sa rencontre avec André Mulliez, fondateur du réseau Entreprendre.

« Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie […] »

Cette expérience entrepreneuriale procure à Hugues Franc un mélange de sensations, inconnues jusque là. « Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, mais en même temps, je n’ai jamais eu autant de souffrance. C’est paradoxal », confie-t-il. Mais l’invité insiste sur les choses positives que génère l’entrepreneuriat. Ce numéro d’Entre Nous, va au plus profond de l’entrepreneur. Un moment presque philosophique, qu’il serait dommage d’ignorer.

 

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